Afin de respecter les futures normes restrictives en matière de consommation énergétique et émission de gaz (Au niveau microscopique, on décrit un gaz comme un ensemble d'atomes ou de molécules très faiblement liés et quasi indépendants (pour plus de détails, voir gaz réels).) à effet de serre (L'effet de serre est un processus naturel de réchauffement de l'atmosphère qui intervient dans le bilan radiatif de la Terre.
Il est dû aux gaz à effet de serre (GES) contenus dans l'atmosphère, à savoir principalement la vapeur d'eau (qui contribue le plus...), et mieux répartir géographiquement le prix de l'immobilier, une mesure européenne devrait être prochainement adoptée pour faire du télétravail le mode de travail de la prochaine décennie (Une décennie est égale à dix ans. Le terme dérive des mots latins de decem « dix » et annus « année.).
Actuellement, le télétravail ne représente qu'une part négligeable de l'activité en entreprise. Ce mode de travail devrait devenir largement majoritaire dans les 10 ans à venir sous peine de lourdes sanctions auprès des entreprises qui ne respecteraient pas un taux réglementaire de télétravailleurs dans leur personnel. Il est ainsi prévu pour les entreprises de plus de 20 personnes que 20% de leurs salariés soient en télétravail fin 2015, 50% en 2020 et 80% en 2025. Ces impératifs ne concerneront pas les commerces de proximité ni les travailleurs en usines ou chantiers.
Un télétravailleur se définira comme une personne travaillant pour au moins 80% de son temps de travail de chez elle, en utilisant des moyens informatisés et de télécommunication mis à disposition par son employeur.
L'objectif de cette mesure est de réduire à terme de 70% la consommation énergétique et la pollution générées par le mode de transport des travailleurs, ce qui permettra mécaniquement une diminution drastique des besoins énergétiques en Europe, et la mutation vers des solutions de productions énergétiques renouvelables à grande échelle.
Le télétravail permettra également une augmentation du temps libre des européens (un temps de trajet logement-travail de plus d'une heure n'est pas rare dans les grandes villes), ce qui devrait se traduire par une augmentation du temps consacré à l'éducation des enfants et une augmentation de la consommation en biens de divertissement et de loisir. Ce temps plus grand consacré aux jeunes en famille, ainsi que la baisse programmée des grands ensembles et de la concentration dans les grandes villes, voire mégapoles, réduira la délinquance et rapprochera les gens de la nature et d'une nouvelle philosophie naissante "l'humanisnatura" qui dit que l'homme est naturellement bon et que c'est la concentration urbaine démesurée qui le corrompt.
Au final, le prix actuel des logements dans les grandes villes devrait progressivement se réduire, pour ne représenter au final qu'un surcoût de moins de 20% sur le prix des petites villes (de 20.000 à 30.000 habitants), alors qu'actuellement les grandes villes ont un prix moyen au mètre carré représentant 2 à 3 fois celui des petites villes de leur banlieue.
Il est dû aux gaz à effet de serre (GES) contenus dans l'atmosphère, à savoir principalement la vapeur d'eau (qui contribue le plus...), et mieux répartir géographiquement le prix de l'immobilier, une mesure européenne devrait être prochainement adoptée pour faire du télétravail le mode de travail de la prochaine décennie (Une décennie est égale à dix ans. Le terme dérive des mots latins de decem « dix » et annus « année.).
Actuellement, le télétravail ne représente qu'une part négligeable de l'activité en entreprise. Ce mode de travail devrait devenir largement majoritaire dans les 10 ans à venir sous peine de lourdes sanctions auprès des entreprises qui ne respecteraient pas un taux réglementaire de télétravailleurs dans leur personnel. Il est ainsi prévu pour les entreprises de plus de 20 personnes que 20% de leurs salariés soient en télétravail fin 2015, 50% en 2020 et 80% en 2025. Ces impératifs ne concerneront pas les commerces de proximité ni les travailleurs en usines ou chantiers.
Un télétravailleur se définira comme une personne travaillant pour au moins 80% de son temps de travail de chez elle, en utilisant des moyens informatisés et de télécommunication mis à disposition par son employeur.
L'objectif de cette mesure est de réduire à terme de 70% la consommation énergétique et la pollution générées par le mode de transport des travailleurs, ce qui permettra mécaniquement une diminution drastique des besoins énergétiques en Europe, et la mutation vers des solutions de productions énergétiques renouvelables à grande échelle.
Le télétravail permettra également une augmentation du temps libre des européens (un temps de trajet logement-travail de plus d'une heure n'est pas rare dans les grandes villes), ce qui devrait se traduire par une augmentation du temps consacré à l'éducation des enfants et une augmentation de la consommation en biens de divertissement et de loisir. Ce temps plus grand consacré aux jeunes en famille, ainsi que la baisse programmée des grands ensembles et de la concentration dans les grandes villes, voire mégapoles, réduira la délinquance et rapprochera les gens de la nature et d'une nouvelle philosophie naissante "l'humanisnatura" qui dit que l'homme est naturellement bon et que c'est la concentration urbaine démesurée qui le corrompt.
Réduire le coût du logement
Autre objectif affiché: une meilleure répartition des prix de l'immobilier. Travaillant de chez eux, les européens n'auront plus à se concentrer au plus près des pôles économiques, actuellement saturés en demande de logements. S'affranchissant de l'impératif géographique, les télétravailleurs pourront se loger dans des villes plus petites, ou à la campagne, d'autant plus que l'entreprise devra verser à ses télétravailleurs des frais de mise à disposition d'une partie de leur logement, équivalant à la location d'une pièce. Cette charge ne sera pas perdue par l'employeur puisqu'il diminuera d'autant le coût de ses locaux devenus inutiles.Au final, le prix actuel des logements dans les grandes villes devrait progressivement se réduire, pour ne représenter au final qu'un surcoût de moins de 20% sur le prix des petites villes (de 20.000 à 30.000 habitants), alors qu'actuellement les grandes villes ont un prix moyen au mètre carré représentant 2 à 3 fois celui des petites villes de leur banlieue.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire